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Auvers
sur Oise, septembre 2005, |
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| Dans le jardin de l'office de tourisme (au pied de l'immeuble abritant le Musée Daubigny) |
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Page 1, l'installation, et tout d'abord, le ballet des cariatides municipales : |
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Vendredi 2 septembre, l'équipe technique de la commune d'Auvers sur Oise édifie en quelques instants, dans un ballet musclé et parfaitement orchestré dans la bonne humeur cette tente de 12 mètres. Je vais y installer mon matériel, et peindre de grandes toiles devant le public. |
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En contraste avec les moyens déployés par Auvers et l'office de tourisme, voici mon organisation personnelle pour le transport de mon matériel, à partir d'Aventureland, d'où j'effectue 3 aller et retours, empilant mes tableaux sur le toit ! |
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En moins de 24 heures, je reconstitue mon atelier sous la tente et
travaille à mes peintures. Les stocks de peinture en tube, les brosses, les châssis et de la toile en quantité, des tableaux presque finis, d'autres en chantier, des chevalets de toutes tailles, quelques reproductions étalées sur une table et des bancs, un calicot à la gloire de mon village de Saint Clair sur Epte... Je songe à amener des pommes de son verger conservatoire, pour les offrir aux touristes de passage, mais j'attends qu'il fasse moins chaud. 38 à l'ombre me dit-on ! |
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En deuxième semaine, et jusqu'à la fin de l'exposition
le 25 septembre, |
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En troisième et dernière semaine, j'expérimente avec des
pieds de maïs, que je me suis procurés auprès des fermiers de
mon village (Petit, à Guerny). |
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Le départ, dimanche 25 septembre, un de mes trois voyages de retour avec la 305 de papa. Il a fait presque tous les jours beaux, tous les jours de la bonne humeur, quatre grandes toiles de faites (à fignoler en atelier cet hiver) cinq mini tableaux (2 coquelicots , 2 ballots de paille, une cerise du mont Ventoux) et une bonne trentaine de reproductions de vendues, de quoi rembourser l'essence, les cafés et les steak frites et boeuf bourguignons au café tabac "Le Balto" qui vaut bien pour moi et mon fils (qui m'a beaucoup accompagné à Auvers) tous les chiens qui fument et tous les lapins agiles de Paris. |
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Toujours à l'invitation de mes amis de l'Office de Tourisme,
je serais de retour à Auvers |
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