Carnet de notes: Tout au long de cette série sur
les peupliers de la vallée de l'Epte (d'ailleurs est
ce bien des peupliers?) je n'ai jamais réussi à
contenir un arbre dans mes tableaux, toujours le feuillage grandissait
sous mon pinceau et remplissait tout l'espace de la toile, quelle
que soit son format. J'ai donc continué dans cet excès
(voir donc une étude plus aboutie, L'arbre du soir
)